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En ce temps-là, à l'Opéra de Marseille, les enfants
du Paradis n'étaient pas des
anges, ni des enfants de choeur. L'amphithéâtre était
littéralement le théâtre,
chanté et hurlé, de scènes et d'actes qui dépassaient
de loin et de haut, en
couleurs et sons se répondant et répendant ce qui était
censé se passer,
en bas, sur la scène lyrique.
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